DESCRIPTION:
Le groupe LND avec le morceau "Avant que le soleil" tiré du deuxième album "Résistance". http://www.myspace.com/lndband

L'inépuisable douleur des hommes
Presque toujours en haine se transforme
Haine de la vie, haine des autres, haine de soi
Les racines du mal sont bien là
La Haine ! ! !
Que ce soit dans les cris ou dans le silence
On sème à tour de bras les graines de la souffrance
Qui grandiront sous le soleil du temps
Irriguées par des torrents de larmes et de sang
La boucle est bouclée ! ! !
Démultipliée ! ! !
Cercle macabre, la récolte sera terrible !
Fleur de colère, fruit d'une rage inextinguible !
Contre qui... Et pourquoi ?...
Tous paieront le prix !
Cicatrice de chair ou d'âme !
Pour voir les drames à venir !
Pas besoin de lire dans les lames !
La Haine ! ! !
On pratique toujours l'escalade de la violence...
Impossible, impensable d'éradiquer la souffrance...
Traînée de poudre ! Incendie ! Terres brûlées !
Traînée de poudre ! Incendie ! Terres brûlées !
Les contre-feux, personne pour les allumer
La haine ne cessera pas de se propager
Les corps les esprits, seront scarifiés
Marquant à jamais les mémoires
Il en résulte que même enfouie, souterraine, enfermée
Un jour ou l'autre, on verra ressurgir l'horreur dans l'histoire
Ca tranche, saigne, fauche à tout va !
Ca tranche, saigne, fauche à tout va !
Ca tranche, saigne, fauche à tout va !
Car la moisson s'achève déjà
La récolte fut encore bonne cette fois
Et les graines sont à l'abri des toits
Pendant l'hiver on rallumera les feux et dans les yeux les étincelles !
Pas d'inquiétude au printemps, les semailles seront belles !
Les semailles seront belles !
Les semailles seront belles !
Texte

Si nous allions rêver sur ces rivages tendres
D'où l'on jette nos adieux comme l'on jette nos cendres
Si nous marchions ensemble tout au bout du chemin
Le souffle de nos vies dans le creux de nos mains
Si au lieu du début nous partions de la fin
Pour saisir les essences de ces parfaits parfums
Si au milieu des cris nous parlions en silence
A ces morts passés à leurs âmes qui dansent
Qui dansent ! Qui dansent !
Leurs âmes qui dansent ! Leurs âmes qui dansent !
S'ils nous glissaient d'un mot une once de sagesse
Ouragan pour nos peurs, intouchable Déesse
Le crépuscule tomberait sur nos pauvres croyances
La nuit nous accueillerait en sa grande clémence
Nos yeux se fermeraient sur nos luttes infâmes
Et une aube nouvelle briserait les chaînes de nos âmes
Nos yeux se fermeraient sur ces luttes infâmes
Et une aube nouvelle illuminerait nos âmes
Nos âmes ! Nos âmes !
Illuminerai nos âmes ! Illuminerai nos âmes !
Alors allons rêver sur ces rivages sombres
Avant que le soleil n'offre une ombre à nos tombes
Alors allons rêver sur ces rivages sombres
Avant que le soleil n'offre une ombre à nos tombes
Nos tombes ! Nos tombes !
Une ombre à nos tombes ! A nos tombes !
Avant que le soleil ... N'offre une ombre... A nos tombes...