TONIO

Location:
Orléans, Fr
Type:
Artist / Band / Musician
Genre:
Folk Rock / Blues / French pop
« Après les grandes vagues, c'est presque sur une mer calme que s'est achevé « Sauvage ».
Bien avant cet album, il y a eu divers groupes et collaborations, des années home studio, et enfin ! « la » formation rêvée : Mosta Siempre. Puis retour en studio, mais cette fois, pour ce nouveau projet, avec Julien (Mosta Siempre) à la batterie.
« Sauvage », j'ai vraiment senti que nous le devenions pendant ces réformes, où il flottait dans l'air comme un air de dictature… Du coup, cela a entraîné une remise en question et m'a donné envie de lutter contre mon individualisme, de moins me regarder le nombril… L'album y a indéniablement gagné en maturité. Les textes ont été composés lors des réformes sur les Universités, les retraites, etc., avec leurs manipulations… Mes mots sont des mots de lutte et d'espoir qui résonneront, je l'espère, dans le cœur des gens…
C'est vrai qu'après coup, il m'a semblé que cela pouvait avoir un côté récupérateur, et patati et patata, mais je m'en fiche un peu, cela est sorti de mes tripes ! Au début, j'envisageais cela comme un "devoir de mémoire", mais bon, là, cela pouvait engendrer des tas de confusions. Cependant, je ne voulais surtout pas qu'on oublie, avec la vitesse du net et des médias, cette odeur de dictature qui flottait dans l'air pendant ces 5 dernières années.
L'album dresse, à travers les chansons successives, un peu le bilan de la vie d'un type, la quarantaine déjà éloignée, des déserts aux départs… C'est la vie, la vie de tout le monde en fait. Julien a toujours su appuyer les temps forts de mes chansons, son rôle a donc été décisif pour éclairer les directions… Pas de concertations interminables, nous avons plutôt fonctionné tous deux à l'instinct… Si on se retrouve dans un son presque garage c'est que, avant tout, l'idée était de faire un album vivant ! Les premières batteries jouées sur les maquettes ont donné ce sens au disque, cela apportait la dynamique et la fraîcheur dont je rêvais depuis longtemps.
Et puis il y a William Rodriguez, un ami de longue date, qui joue du charengo sur « Sauvage », et qui accompagne Raphaël sur « Caravane ». Nous avions fait avec Willy un quatre titres à la fin des années 90 et là, c'était merveilleux de se revoir pour jouer. Avec lui, ça va très vite, on prend un café, on discute en gratouillant, et 30 minutes après c'est dans la boîte ! C'est vraiment très agréable. Willy, je remercie régulièrement le ciel de l'avoir croisé.
Il y a aussi Rivière, « un mec normal », qui a participé aux arrangements, du Dernier pour la route, notamment. Rivière, c'est l'exemple type qu'il ne faut pas s'arrêter à la surface. On s'est rencontrés au Hard Rock Café à Paris, on avait joué avec Mosta, et nous étions un peu en contact via le net… Il est venu me voir après le concert en s'exclamant « Putain ça fait trop de bruit ton bazar ! », ça m'a fait marrer ! Après on a commencé à travailler sur ses titres, nous sommes devenus potes, et nous avons fait quelques concerts ensemble. Il un sens aigu du découpage, et il est très fort pour faire le ménage et aller à l'essentiel. Vu que j'ai tendance à tartiner, ça tombe plutôt bien… Pour des titres comme Ne m'attends plus, Aux éclats, il fallait laisser le maximum de place pour ces textes « un peu près de l'os » comme on dit…».



Après les grandes vagues, c'est presque sur un calme plat, que s'est terminé « sauvage ».
Après des groupes, des années home-studio, puis le groupe rêvé, Mosta Siempre, et retour au studio, mais cette fois, avec Julien (Mosta Siempre) à la batterie pour ce nouveau projet.
« Sauvage », j'ai vraiment senti qu'on le devenait pendant ces réformes, où il flottait dans l'air comme un air de dictature…du coup, ça m'a donné envie de lutter contre mon individualisme, ce qui m'aide un peu à moins me regarder le nombril… Je penses vraiment que ces chansons peuvent parlent à des gens, et puis j'ai pas écris "sauvage" la semaine dernière, ça a été écrit pendant les réformes sur les Universités, les retraites, les manipulations, etc. après coup, j'me suis dis que ça pouvait avoir l'air d'un truc récupérateur, et patati et patata, mais j'en ai un peu rien à foutre…. Au début, c'était plutôt un truc genre "devoir de mémoire", mais bon, là, ça pouvait porter à plein d'autres confusions.mais j'voulais surtout pas qu'on oublie, avec la vitesse du net et des médias, cet odeur de dictature qui flottait dans l'air pendant ces 5 dernières années. »
Par la force des choses, ou à la force du poignet…Sauvage, a peut-être quelques couleurs guitares de Bleu Pétrole, toutes proportions gardées ! de l'Eldorado de Stéphane Eicher, du livre d'Hervé Chabalier « le dernier pour la route », des guitares parfois très garage, pour « l'amour à la machine ». C'est peut-être écris comme un espèce de bilan de la vie d'un type, la quarantaine déjà éloignée, des déserts aux départs, la vie de tout le monde en fait. Julien qui à toujours su appuyer sur les temps fort des chansons de Tonio, a été décisif pour éclairer les directions, tout ça sans trop de concertations interminables, comme ça, à l'instinct. Si on se retrouve dans un son presque garage, c'est qu'avant tout, l'idée était de faire un album vivant ! « les premières batteries jouées sur les maquettes, on donné ce sens au disque, ça apportait la dynamique et la fraîcheur dont je rêvais depuis longtemps ».
Et puis il y a William Rodriguez, un ami de longue date, qui joue du charengo sur « sauvage », c'est lui qui en joue sur Caravane de Raphaël, « avec Willy nous avions fait un quatre titres à la fin des années 90, et là c'était vraiment parfait de se revoir, pour jouer. Avec lui, ça va très vite, on prend un café, on discute en gratouillant, et 30 minutes après c'est dans la boite ! c'est très agréable. Willy, je remercie régulièrement le ciel de l'avoir croisé ».
Il y a aussi Rivière « un mec normal », qui a participé aux arrangements, du dernier pour la route notamment, « Rivière, c'est l'exemple type, qu'il ne faut pas s'arrêter à la surface, on s'est rencontré au Hard Rock Café à Paris, on avait joué avec Mosta, nous étions un peu en contact via le net, et il est venu me voir après le concert en disant « putain ça fait trop de bruit ton bazar ! », ça m'a fait marrer, après on a commencé à travailler sur ses titres,on devenu pote, et on a fait quelques concerts ensemble. Il un sens aigüe du découpage, et il est très fort pour faire le ménage des choses qui ne servent à rien, et vu que j'ai tendance à tartiner, ça tombe plutôt bien…pour des titres comme « ne m'attends plus », « aux éclats » fallait laisser le maximum de place, pour ces textes un peu prêt de l'os comme on dit…
trouver les nuances, les ambiances, virer ce qui ne marche pas, les mix, le mastering, le savoir faire de Damiens etc.
c'était cool de visualiser tout ça avec David, en écoutant le dernier Feist, et les Foo Fighters.
http://youtu.be/PjptrtQwviE
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