DESCRIPTION:
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Voici "T'es rien", le troisième extrait de l'album "... je touche" de Syrano.
Une réflexion sur l'écologie qui prend une dimension internationale avec la participation de la jeune et talentueuse chanteuse r'n'b de Dallas (USA), Naomi Clinton.
Un mélange des genres pour mettre en relief un message important...

Paroles : Syrano et Naomi Clinton
Musique : KinChino / Piano : Raphaël Bancou
Mixage : Seb "Buzz"Perron
Master : Drive 35 (Lewisville, TX - USA)
Special thanks to Jose Sanchez II

Paroles - Lyrics :

Hey, I feel the music in the ambiance
breeze going through the trees has got me in a trance
it really makes me think that we still got a chance
yeahh, this sacred air just lets my soul fly free
it makes me feel as if i'm watching over me
for once i finally can walk and crisply breahe

Hey! Terrien, minuscule alluvion
Duquel tous les actes à la mort font allusion.
Toi qui n'est rien,
Es-tu finalement revenu de ta désillusion?
Il n'y avait donc pas de maître du monde,
Malgré les ondes, pas de solution face à l'ondée.
La peur qui t'incombe quand l'écho te répond.
De la fausse des Mariannes à l'Everest, que des catacombes.
Mais as-tu appris de ta quête de technologie
Depuis que le progrès infecte nos logis?
Est-ce que tu vis mieux dans une rue bondée?
Te sens-tu plus à l'abri maintenant que t'as la bombe?
Y'a des questions des névroses et des rides à combler.
Y'a des vides à compléter par des équimoses.
Y'a des guerres, y'a des boucs émissaires,
Car tu ne comprends pas que bouent tes viscères
Devant le soleil levant et la course des astres.
Tu veux contrôler le vent, provoquer le désastre.
Mais malgré tes hémisphères en ébullition,
Tu es le T.Rex réalisant la collision.
Depuis Néanderthal, fasciné par le jour et la nuit,
Le néant, les étoiles, les racines et les céréales.
Tu es un acteur mortifère de l'évolution,
Un puits de connaissance et ta raison comme un désert.
Reste modeste, toi, le fruit du hasard,
L'enfant du rien, le bruit dans le blizzard,
La créature debout qui voulait parvenir
À ne rien endurer de la vie à part de venir.
Il ne te manquait plus qu'à adorer ton image,
Te projeter en des dieux, célébrer des visages,
Et attendre les prophètes qui fêteraient des mirages
Pour que tu crois que tout allait t'appartenir.
Chorus

Gotta know, gotta know, gotta know why we are so wrong
listen to these words, try and solve the puzzle of this song
we've been treatin mother earth, way too bad, for way too long
ozone levels reaching red, cloudning in my head, gotta stay strong
Gotta see, gotta see, gotta see what their doing to me
all the leaves on the trees and the bees all gone so suddenly
our world is in need of some environmental lovin
and my heart is scared of what's becomin.

Mais d'où t'es venue l'idée que la planète
Était un bien hérité que l'espère à mérité.
Il n'y a que deux vérités sur ta palette :
L'idée de supériorité et une mallette pleine de billets.
À force de tout saccager, tu paies la dette,
À force de massacrer, ton cousin la bête,
Bientôt sera exhaussé le rêve de celle qui t'allaite :
Voir ton cynisme emporté par les tempêtes.
Chorus