Kabylie : Ferhat Mehenni...! - Video
PUBLISHED:  Mar 12, 2016
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Kabylie :Homme Ferhat Mehenni Kabyle...!
⭐️Paix (Atnirham rabbi) aux âmes de touts les martyrs Kabyles, berbères assassiné(e)s au nom de la liberté et leurs berbèrité et précisément à cette mère de famille de Michelet (Ain elhamam) tuée durant les événements 2001, ces événements meurtriers 2001 de Kabylie, c’est une réponse personnelle de Bouteflika aux Kabyles, pare ce que durant sa tournée en tant que candidat président, avant son installation sur le siège du président, il était invité par les pions Kabyles imposés par le régime d’Alger pour contrôler la Kabylie, il a été un non-bienvenue et renvoyé par une agressivité et même des jets de pierres sur son cortège par les manifestants Kabyles et même cas Vgayath-Bejaia, dont furieusement Bouteflika avait annoncé aux Kabyles sa vengeance une fois qu’il serait au pouvoir par : je reviendrais pour vous donner un discours en proprement en langue Kabyle, la preuve a l’approche de son génocide anti-Kabyles on avait reçu des ordres de s’abstenir de toutes résistances contre les forces criminelles Algériennes, qui vont opérer en Kabylie pour assassiner toutes résistances contre eux, ces informations on les avait reçu par les proches des officiers Kabyles dans les corps de la police ou du ministère de La Défense Algérienne!

Fils d'un combattant de la guerre d'Algérie, Ferhat Mehenni entre à l'école primaire en janvier 1963 au centre de Chateauneuf, à Alger, qu'il quitte en 1965, pour celui de Larbaâ Nath Irathen où il reste jusqu'en 1969. Candidat libre au bac en 1972, il entre à l'Institut des sciences politiques de l'université d'Alger et découvre les différents courants idéologiques, berbéristes notamment, qui agitent la capitale. C'est de cette époque (octobre-novembre 1972) que date sa première rencontre avec celui qui deviendra son ami et compagnon de lutte, Saïd Saadi. Ensemble, ils participent à la publication d'une revue intitulée d'abord Taftilt « lumière » puis Itri « étoile », dans laquelle sont formulées des revendications culturelles et linguistiques.

En avril 1973, il participe au festival de la chanson algérienne, où il figure parmi les présélectionnés. Son groupe, inscrit sous le nom de Imazighen en provenance d'Illula Oumalou, deviendra par une faute de frappe Imazighen Imula. Avec d'autres chanteurs, Idir notamment, il contribue à la rénovation de la musique traditionnelle et pose la question de l'identité. Son répertoire est jugé subversif dans une Algérie muselée par le président Boumédiène. Il chante entre autres le déserteur de Boris Vian, l'Internationale en Kabyle. D'avril à juin 1976, il prend une part active aux débats houleux ayant précédé le référendum sur la Charte nationale en proclamant sa berbérité dans tous les meetings. Alors commencent ses démêlés avec la Sécurité militaire. Le 30 novembre, il est cueilli au saut du lit à la cité universitaire de Kouba, puis est relâché après une garde à vue de 24 heures.

Le printemps berbère[modifier | modifier le code]
En avril 1980, il est l'un des artisans du printemps berbère de Tizi Ouzou. Arrêté le 161, il reprend ses activités d'animateur culturel avec Kateb Yacine dès qu'il retrouve sa liberté un mois plus tard, le 14 mai. Membre du Comité des enfants de chouhada, il est l'objet d'intimidations et de surveillance rapprochée. Son passeport lui est confisqué.

Le 30 juin 1985, il est parmi les fondateurs de la Ligue algérienne des droits de l'homme et membre de son comité directeur. Il est arrêté le 17 juillet chez lui à Azazga pour son appartenance à la ligue et pour avoir célébré en dehors des cortèges officiels l'anniversaire de l'indépendance. Incarcéré à la prison de Berrouaghia, il est jugé le 20 décembre 1985 et condamné à trois ans de prison plus une amende de 5 000 dinars. Après 21 mois d'emprisonnement, il est libéré le 27 avril 1987 par grâce présidentielle.

Le Rassemblement pour la culture et la démocratie[modifier
En novembre 1988, il lance un appel avec trois de ses camarades Mustapha Bacha, Mokrane Ait Larbi et Saïd Saadi à la tenue des assises culturelles amazigh (berbères) les 10 - 11 février 1989, à l'issue desquelles est proclamée la formation du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD)2 Membre de la direction de ce parti, Ferhat Mehenni
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