DESCRIPTION:
Chanson ré-enregistrée à l'occasion d'un voyage au Burkina Faso organisé par "Une Chanson pour l'Education" et "Enfants du Monde"

Auteurs des arrangements : les personnes qui vivent là-bas

Percussions et rythmique : les balais devant les maisons du village de Goudou, LE puit DES villages, les bidons plastiques pour faire office d'eau courante, la vaisselle frottée à mains nues, la jante-voiture qui fait office de sonnerie de classe, le vélo qui passe, le pilon et le riz, les mains des enfants-sourires, quelques bracelets magnifiquement dansés.

Piano : Un Baobab.... oui, un baobab

Guitare : Germain Umdenstock, immense.

Ce film est une déclaration d'amour à un pays pour son accueil, sa chaleur humaine, sa Poésie
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Le voyageur - FRAISSINET est un chanteur pianiste franco-suisse au style très personnel, tantôt pétillant, tantôt écorché, toujours jubilatoire, d’une sensibilité à tout épreuve.
Lorsque le musicien cède la place à l’interprète, on le découvre doué d’une voix unique et singulière.

Une palette d’ambiances musicales très diverses. Flirtant parfois avec le rock et l’électronique, pour revenir toujours à la tendresse de ses premiers points d’ancrage : le piano, la voix et la sobriété d’une interprétation à fleur de peau.


----------PAROLES----------

LE VOYAGEUR

Sur les chemins je vais au loin souvent
J’abonne ma vie aux absents
Sur ces chemins je te rejoins autant
Quand je reviens au fil du vent

Seras-tu là pour me redire
A l’avenir
Que l’amour n’est jamais distant

De par le monde je m’éloigne hors du temps
J’ai cette ivresse dans le sang
Pourtant ton cœur demeure mon seul orient
Dis moi encore que tu m’attends

Seras-tu là pour me redire
A l’avenir
Que l’amour n’est jamais distant

Je n’avais pas cru la longueur du voyage
Qui me sépare de ton image
Je n’avais pas cru la longueur du voyage
Ma liberté est notre cage

Je suis mon étoile sur tous les cadrans
Mais je t’appelle comme un enfant
J’ai traversé des jardins en suspend
Pour éterniser nos printemps

Seras-tu là pour me redire
A l’avenir
Que l’amour n’est jamais distant

Je n’avais pas cru la longueur du voyage
Qui me sépare de ton image
Je n’avais pas cru la longueur du voyage
Ma liberté est notre cage

Tous ces mots en forme de cœur
Sont des gouttes de bonheur
Au fil des routes et de mes peurs
T’arriveront-ils à l’heure ?

Je n’avais pas cru la longueur du voyage
Qui me sépare de ton image
Je n’avais pas cru la longueur du voyage
Ma liberté est notre cage


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Musique & texte : Fraissinet
Production : Yannick Cochand, Compagnie Zappar / http://compagniezappar.com
juin 2014 - Dans le cadre d'Une Chanson pour l'Education

Site Officiel: http://fraissinet.net/
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