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GRANDE PARADE DU JAZZ DU 17 - 7 - 83 - Avec le Grand geant du Jazz Lionel HAMPTON Arena stage Cimiez Nice, il est 0 heure 21 m. Hey! Ba Ba Re Bop. /// . " Si impossible n'est pas Français, " " Virginia woolf " ne serait pas Britannique et le mot reflexion ne serait pas de " Descartes " non plus. Pourtant je vous assure que je suis bien doté de ce côté là et je fais de mon mieux pour ne pas être en dessous de la ligne de flottaison. Certains ont compris qu'il manquait un petit quelque chose, à la fin de cette video. Eh bien oui... En effet il nous fallait encore 37 secondes, de bobine en 1983 beaucoup de cameras avaient encore des cassettes VHS, identiques à celles des magnetoscopes et pour être sûr du bon resultat, il fallait utiliser des cassettes de trois heures mais pas de quatre heures pour la résistance de la bobine. Seulement voilà, ce jour là, le 17 juillet 1983 Mister HAMPS, pour le plaisir de son public a fait plus de bis que d'habitude. Ce soir là il y avait plus de 6000 personnes juchées un peu partout et même sur les arbres, alors que la scène des Arènes n'a que 2500 places assises et 905 places debout, c'est une des règles établie par nous mêmes en 1974 pour le bien de tous. Mais, c'était avant la catastrophe de Furiani, qui nous a réduit à trois personnes au lieu de quatre, au mètre carré et bien entendu cela depend du nombre des sorties de secours, qui en général font cinq mètres chacune. De 1974 à 1985 c'était la police et les CRS qui faisaient la sécurité, la responsabilité de chacun éveillait celle des autres. Et la fête du jazz était à son comble, sur place les gens faisaient connaissance avec des filles ou garçons et pouvaient aborder les musiciens. Il y avait à boire et à manger, les amoureux étaient partout, sur le gazon et tout se passait dans la joie et le bonheur. Je me souviens de Guy Marchand, le regretté Sacha Distel, Paul Lefevre Eddie Barclay, Nicole Croisille et beaucoup d'autres qui s'amusaient sur scène ainsi que dans les restaurants de la Grande Parade très tard. Enfin tous ceux qui disaient ne pas aimer le Jazz, au bout de deux soirées ils montaient nous voir tout les soirs. Exemple le 14 juillet après le jazz le public de Cimiez dansait jusqu'à quatre heures du matin. Savez-vous que pour sortir des jardins de Cimiez après les concerts des trois scènes il fallait 90 minutes et il y avait plus cinq mille métres de voitures en stationnement des deux côtés des avenues. Aujourd'hui le charme des belles manifestations est parti avec les Grands du JAZZ, tout comme Jacques MEDECIN qui savait que la culture de notre GRANDE PARADE DU JAZZ était l'un des fleurons de la ville de Nice. Car il n' y a que les petits coquelets humains qui manquent d'instruction, et ne seront jamais à la hauteur. " Monter au sommet c'est bien et pouvoir y rester c'est autre chose'' disait Jean GABIN .