Menolly.

En fin d'année 2006, le dieu de la musique eut une inspiration : il prit un shaker et mit un peu de tout ce qu'il avait sous la main dedans

Le mélange fut énergique, détonnant et. péchu à l'extrème ce qui lui donna envie de pogoter (les orages éclatèrent et on fut proche du cataclysme).



Mais bon. Une fois le mélange réalisé, cela donna Menolly, un mélange de ska, punk, rock et reggae fait pour vous faire sourire et sauter en l'air (pour ceux qui ont du muscle dans les jambes, bien sûr).



A la batterie, Seb, le batteur (le plus musclé de la région) qui frappe ses peaux à un rythme effréné (surtout les basses) provoquant des démangeaisons insupportable dans les pieds, voir jusque dans les fesses qu'il aime faire bouger.

A la guitare, Victor (le plus stoïque de la région) qui envoie des riffs, imperturbable (sauf face à une gente féminine déchaînée) concentré et ignorant les gesticulations des autres membres du groupe.

A la basse, Oz (le plus chevelu de la région), tel un rasta égaré, qui fait corps avec sa basse (enfin tant qu'elle veut encore de lui) pour accompagner l'overdose d'énergie qui déferle dans les enceintes.

Et au chant, Lau, aux chorégraphies exceptionnelles (on se demande comment elle ose, mais au moins, on peut tous faire pareil !) de sensualité et de créativité (enfin, c'est ce qu'elle croit) pour vous emmener grâce à quelques cordes placées au fond de sa gorge à chanter (même si c'est faux) avec elle.



Bref, Menolly, un groupe à découvrir quand on a besoin de vitamines, de faire fonctionner ses zygomatiques ou de se remuscler les jambes et détendre les oreilles.