Mata'e Tamarindo à la Peña Abierta - Video
PUBLISHED:  Feb 16, 2010
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Cette vidéo est un extrait, suite des 39 minutes de vidéo, photos et toutes infos à (diffusion en 5 parties sur Youtube) :
http://www.chartres.tw
Soirée latino-américaine Peña Abierta à Montreuil-sous-Bois : extraits du concert du groupe de folklore afro colombien Mata'e Tamarindo. Reportage vidéo exclusif du 7 février 2010 de la télé internet de l'agglomération chartraine, http://www.chartres.tw
Le vendredi 12 février 2010, la web tv agglo-chartraine a diffusé la première partie d'un reportage consacré à la Peña Abierta. Le principe de la Peña Abierta organisée par l'artiste argentin Fermin Juarez (musicien, folkloriste et danseur) est de faire connaître diverses expressions de la culture musicale d'Amérique Latine (musique, danses...), dans une ambiance "casera". Cette 4e édition avait lieu au Chantier à Montreuil-sous-Bois le 7 février 2010 et proposait un voyage au cœur des traditions en partant de l'héritage africain en Amérique Latine. Malheureusement les conditions d'éclairage, de sonorisation et de captation n'ont pas permises de réaliser un témoignage corrrect de la soirée, mais malgré la mauvaise qualité des images nous avons souhaité le diffuser par rapport à l'intérêt des différentes prestations. La première partie incluait des extraits du concert du groupe de folklore afro (créole) colombien Mata'e Tamarindo (première partie de leur concert).
A propos de Mata'e Tamarindo : Monica Lopez (direction, voix, gaita hembra et maracón), Hernando Guerrero (gaita macho), Martin Oullie (tambour alegre), Amed Torres (tambora et flauta de millo) et Luis Miguel Hurtado (llamador et voix). "Il y a très longtemps, au pied des Ceibas, arbres immenses dont les branches touchent les nuages, se réunissaient toute la nuit, les «tamboreros» et les «cantadoras». Tous les habitants du village venaient les rejoindre pour participer à la fête. Ces soirs-là, il y avait «Chandé». Ce n'est pas en Afrique, mais en Colombie, dans les «Palenques», villages fondés sur la côte caraïbe par les esclaves africains réfugiés des plantations espagnoles, que ces fêtes avaient lieu. Avec le temps, les Indiens puis les Espagnols se mêlèrent à ces populations, apportant respectivement les flûtes et la langue. C'est ainsi que naquît le folklore afro colombien. Grâce au métissage de ces trois cultures, des rythmes comme la Cumbia, la Puyà, le Porro ou le Bullerengue virent le jour."
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