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The newest album "Something Ends Here" focuses on the balance between darker lyrics,
compositional work and arrangements in search for light. And if sewn atmospheres have made way to songwriting, pan-harmonic envies and instrumental richness have not vanished into the air.
If poignant moments keep piling up, the band never forgets to forge some happy ends in the middle of dark ballads (Nothing Alongside) so the listener can walk along forest paths where they will be happy to get lost. Ecoute les orgues, elles jouent pour toi, said Serge Gainsbourg.
Between old school soul music and pop adventures in Technicolor, Major Deluxe drop their compass under a bronze sky (Eveything’s Black.) on a bright sunshine pop day (Murder Day). Back to normal? Major Deluxe’s second more mature album stares into the eyes of the listener.
From deep mellow soul to a shy and subtle disco sense, the squad lays a bed of no-folk layers in a hazy cloud of Talk Talk. Probably influenced by the kinds of Lambchop, High Llamas, Jim ORourke, Elliott Smith, Beatles, Stereolab or J.J. Cale, Major Deluxe reveals a unique sound, a huge sense of space and freedom, brings a feeling of pleasure and happiness.
Avec une tonalité de textes certes plus sombre, "Something Ends Here" recherche toujours la mise en balance d'un travail de composition et d'arrangement en quête de lumière. Et oui, le songwriting a un peu pris le pas sur le tissage d'atmosphères; mais non, les envies pan-harmoniques et la nécessaire richesse instrumentale n'ont pas disparues.
Le groupe a toujours à coeur de ménager des happy ends au plus fort de ballades crépusculaires (Nothing Alongside), des échappées belles qui ne laissent pas l’auditeur en rade, ouvrant grand sur des chemins buissonniers où il fait bon se perdre. Ecoute les orgues, elles jouent pour toi.
C’est là, entre soul à l’ancienne et aventures pop en Technicolor, entre ciels mordorés (Eveything’s Black.) et éclaircies d’une sunshine pop qui carillonne (Murder Day), que MD flamboie. Back to Normal ? Cours-y voir !
A l'image de quelques-unes des têtes chercheuses populaires des dix dernières années (de Stereolab à Air, en passant par Bertrand Burgalat, The Boo Radleys ou Lambchop), Major Deluxe conjugue à merveille plaisir pop et recherche harmonique, renouvelant à son tour l'art du melange à la fois savant et ludique. Sous ses airs cool (Calexico meets Burt Baccarach), Major Deluxe offre un trip frondeur dont chaque écoute vient enrichir l'amour du beau geste.
Petit bijou de pop rétrofuturiste et moelleuse, à la fois majeur et luxueux. (Magic) On croirait parfois entendre un projet folk de Massive Attack, qui aurait embarqué les gars de Calexico dans sa capsule spatio-temporelle pour écrire les mélodies et Burt Bacharach pour diriger un orchestre au-dessus des nuages. (Les Inrocks)
Une pépite. Fermez les yeux, vous décollez! (Le Figaro Magazine)
La véritable première révélation belge de l'année. (Liability)
Vous tombez en syncope et le voyage commence. Vous pleurez de joie, de tristesse, de bonheur. (Foutraque)
Comme si la pop n'était jamais morte, comme siLa mélodie existait encore. (Froggys Delight)
Major Deluxe est capable de changer n'importe quel son en verdure. (The French Touch)
Plantes géantes, mélodies organiques, entre étoiles filantes et effusions sucrées. (hi-nu) Trait dunion entre la BO de More des Pink Floyd et le Nixon de Lambchop. (Fluctuat) Skyline Society rend toute sieste idéale. (A découvrir absolument)
On pense à Robert Wyatt, Pink Floyd, les orfèvres Burt Bacharach et John Cunningham, à la mélancolie ourlée de trompette des Pale Fountains. (Sefronia)
Un petit chef-doeuvre de pop sensible et orchestrale. (LeSoir)
Un très grand disque dun groupe à la classe absolue. (RifRaf)
Inouï de richesse sonore, un classique instantané (The Ticket)
Une pop totalement intemporelle. Magique. (Belgorock)
Merveilleux (Longueur dOndes)
Luxe majeur. (Pepper Plug)
"Skyline Society" Top 5 records (B) Tricatel (F) Pupilo (E) Lugeon (S) Panda (Thai) !
