DESCRIPTION:
23e F'Estival des Musiques d'Ici et d'Ailleurs
Résidence de création artistique 2014

Acte 4 : Olivier Vaillant rencontrait son Quatuor à cordes

Jean-Philippe Feiss (violoncelle), Johan Renard (violon),
Youri Bessières (violon), Cyprien Busolini (alto)

avec Alain Siegel (piano).


Mardi 3 juin 2014
Bibliothèque Georges Pompidou de Châlons-en-Champagne.

La création s'articulera autour d'un auteur, compositeur et producteur de talent entouré d'une solide équipe de musiciens arrangeurs pour une création qui mêlera voix et cordes en un pop opéra baroque et urbain, pour célébrer la quête de l'amour comme réponse ultime aux tourments des hommes.

Reconstitution musicale d'un parcours initiatique, celui d'un homme guidé par la quête de son idéal, à travers une galerie de portraits et une mise en scène des rencontres qui en sont issues, à la manière d'une bande-son cinématographique. Passions, romances, amours platoniques ou amours complices, « Une véritable exploration sensorielle fondée sur la résonance musicale des différents sentiments amoureux, comme une expérience visant à matérialiser les émotions, par le ressenti de l'expression musicale, en combinant selon les climats des entités « piano/cordes », « combo jazz », « voix/chœurs/machine »

L'éclosion à la scène d'un projet en intime gestation de longue date chez un artiste d'ici, doué, sensible et généreux. Une création contemporaine aux accents jazz, rock et classique offrant de larges espaces à l'improvisation sur des textes originaux, essentiellement en français et en anglais :

« L'homme avance, se heurte à la réalité de femmes sans visage qui errent dans sa tête. Elles ne doivent être qu'une, l'unique objet de son amour. Gestes déjà pensés, poses imposées, ces corps se plient contre son âme . L'homme dépose derrière lui le scénario de ces rencontres, cherche en vain à retrouver le goût du baiser. Chaque porte poussée le débarrasse de ses illusions, lui fait toucher plus prés l'essence du sentiment avec l'exaltation, la folie, le doute, le désespoir comme autant de détours qui le mènent à la scène finale. ». (Cécile Pavan.)

Plus d'infos sur www.musiques-ici-ailleurs.com.