📀 Volodia - Les Gens Qui Passent [Official Video] - Video
PUBLISHED:  Nov 07, 2016
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Volodia - Les Gens Qui Passent (Audio)
Extrait du premier album de Volodia "Un Pied Sur Terre"

iTunes / Deezer / Spotify / YouTube : http://baco.lnk.to/volodia-un-pied-su...
CD : http://goo.gl/UsvFWW
LP/33T : http://goo.gl/u6bp4V

Lyrics :

Garçon mettez-moi un allongé,
Auriez-vous un crayon aussi que j’écrive une
chanson ? Merci.
Celle-ci c’est aux passants que j’la dĂ©dierai,
J’trouverai bien l’inspiration dans un troquet à
Nation.
D’façon, j’m’inspire des gens qui passent, qui
tracent,
J’m’imagine leurs histoires, sirotant un cafĂ© en
terrasse.
J’les regarde dĂ©filer, du plus joyeux au plus
déprimé,
J’essaie de cerner les figures marquĂ©es de ceux
qui ont trimé.
Ils ont tous des choses Ă  dire, une vie Ă  raconter,
Des malheurs surmontés, et des tonnes de fous rires.
Y a des oiseaux d’passage et des pigeons à ris-Pa
ouais,
On voit de tout dans les rues de la capitale.
Des MCs freestylent au coin de la ruelle d’en face,
S’évadent de la ville sur un beat et des rimes
fantasques.
Mon regard bloque sur une mĂ©tisse sensas’,
Elle me voit aussi - Pause - j’veux pas que l’instant
passe.
Au loin, je vois ce jeune couple qui s’engueule,
Mais pourquoi ils s’en veulent ? Parfois l’amour
s’envole.
Vous inquiétez pas trop, on se retrouve en étant
seul,
Et on ne peut entendre l’amour qu’en Ă©coutant
nos pleurs.

REFRAIN :
Ainsi va la vie, le vent l’emporte,
MalgrĂ© nos chaĂźnes, et les poids que l’on porte.
On cherche le paradis, au pied de nos portes
Et si c’est pas pour soi qu’on vit, c’est pour les
autres.
Ainsi va la vie, le vent l’emporte,
MalgrĂ© nos chaĂźnes, et les poids que l’on porte.
On cherche le paradis, au pied de nos portes
Et si c’est pas pour soi qu’on vit, c’est pour les
autres.

J’pourrais demander Ă  cette mamie, peut-ĂȘtre
qu’elle a des rĂ©ponses.
AccrochĂ©e Ă  sa canne, je vois qu’elle ne renonce,
Malgré la solitude, les maux, et les temps qui
changent,
Ici, c’est la seule Ă  Ă©couter les oiseaux qui
chantent.
Dans ce boucan urbain, moi je n’entends que les
sirĂšnes,
La clope au bec j’me d’mande, à quand la vie
saine ?
Y’a rien qui presse, à part ce gars en costard
cravate,
Courant aprùs un bus, p’tet pour un contrat de
travail.
L’habit ne fait pas l’moine et la galùre est partout.
On ne vit qu’une fois donc je prĂ©fĂšre ĂȘtre
troubadour,
Comme cet artiste de rue lĂ -bas, qui cherche les
regards,
Personne ne le voit mais il continue et se marre.
L’avenir dans le chapeau : bravo !
Chaque jour il ne s’agit que de se jeter à l’eau.
La sagesse comme fardeau, dans l’sac à dos de
ce voyageur
Qui marche, on voit le monde dans ses yeux
d’explorateur.
Devant moi passe une maman, dans chaque
paume un mĂŽme.
Peur de rien en la tenant, leur rire met du baume.
La force de la mĂšre, comme l’union des Ă©lĂ©ments,
Pour eux elle peut tout faire, elle avance en les
aimant.
C’est pas les gens qui passent c’est le temps
C’est le temps...
C’est pas les gens qui passent c’est le temps
C’est le temps.

REFRAIN :
Ainsi va la vie, le vent l’emporte,
MalgrĂ© nos chaĂźnes, et les poids que l’on porte.
On cherche le paradis, au pied de nos portes
Et si c’est pas pour soi qu’on vit, c’est pour les
autres.
Ainsi va la vie, le vent l’emporte,
MalgrĂ© nos chaĂźnes, et les poids que l’on porte.
On cherche le paradis, au pied de nos portes
Et si c’est pas pour soi qu’on vit, c’est pour les
autres.

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