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"Vous ne pourriez pas aller faire cela ailleurs..."

C'était demandé si gentiment. Ne serait ce pas le père de l'enfant que l'on entend pleurer dans la première session de Joseph Arthur ? Même rue de Paris. Tout prêt de la maroquinerie. Qui nous demande avec une gentillesse toute parisienne de dégager.

Heureusement cela n'entame en rien la bonne humeur des uniformisés Fol Chen. Nous, on reste toujours aussi agréablement surpris des sessions d'après concert. Déjà, la nuit, décor et lumière idéales. Mais aussi une énergie. Entre fatigue et adrénaline.

je ne sais pas si notre génération aura le pouvoir de changer le monde comme le pensent certains irlandais, mais en attendant profitons des moments de grâce que l'on peut voler, capturer, vivre, respirer, provoquer...

Un très grand merci à Boris et Pascaline et aux Fol Chen.

images : Renaud de Foville (www.unjourpeuetre.net)

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