LES FEUILLES MORTES - DENZAL SINCLAIRE - Video
PUBLISHED:  Jun 02, 2013
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LES FEUILLES MORTES
DENZAL SINCLAIR
(AUTUMN LEAVES -- THE BEST MALE JAZZ VOCALS)
"Les feuilles mortes" (literally 'The Dead Leaves') was originally a melody composed by Joseph Kosma as a pas de deux (choreographed duo) for the balletLe Rendez-vous, with a plot by Jacques Prévert. It was introduced by Roland Petit in 1945, without words. The copyright is dated February 27, 1946 and it was first published by Enoch (Paris, France) in 1947.
"Autumn Leaves" is the most important non-American standard. It has been recorded about 1400 times by mainstream and modern jazz musicians alone and is the eighth most recorded tune by jazzmen, just before "All the Things You Are". It was a chart hit in both Europe and America and has made regular appearances in films over the years. The composition has an interesting history that can be traced through the various published versions, and its oft-studied musical structure has ties to classical compositions.
Les Feuilles Mortes
Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
C'est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous les deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie.
Je t'aimais tant, tu étais si jolie.
Comment veux-tu que je t'oublie ?
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n'ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais,
Toujours, toujours je l'entendrai !
(Vídeo de Antônio Augusto dos Santos, Antonio Bocaiuva, antaugsan, Bocaiuva, Divinópolis, Minas Gerais. Fotos e imagens da Internet. Em 1/6/2013)
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