L'album À L'Envers est disponible sur
Archambault
http://www.archambault.ca/store/Product.asp?mscssid=&sku=002026241&type=1
Ituneshttp://phobos.apple.com/WebObjects/MZStore.woa/wa/viewAlbum?id=263691140&s=143455
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LA PREMIÈRE CAPSULE DE
lacennenoire.com
en ligne !!!
Mettant en vedette :
Richard Turcotte, Marc Gélinas, Jean-Claude Gélinas, Guy Jodoin, Éric Nolin, Jeff Paquet, Charles Lafortune et Cathya Attar de CKOI.
Dominic et Martin, Mélanie Gagné, Julie St-Pierre, Jean-Pier Gravel de Radio Énergie.
Valérie Guibbaud et Alain Jean-Mary de Rythme FM.
Jean-Michel Anctil et Marie-Andrée Hamel de Rock Détente
Jasmin Roy du 98,5 FM.
Et MARIE-LUCE BÉLAND…
Merci aux animateurs participant à la première capsule, en ligne dès aujourd’hui !
Pour cette première capsule, Marie-Luce Béland a invité des personnalités de la radio à chanter avec elle son premier succès radio Pleine Lune. Vous pouvez voir dès aujourd’hui le montage chanté rappelant le fameux « We are the world ». Marie-Luce Béland explose par sa personnalité flamboyante, son magnétisme et sa joie de vivre contagieuse dans cette première capsule réalisée par Angelo Cadet. Marie-Luce amassera des « cennes noires » pour les remettre à la Société canadienne du cancer
Un nom de capsule qui peut rapporter beaucoup!
La cenne noire peut valoir plus que l’on pense. Avant d’abolir le sou noir, comme l’a proposé en projet de loi le NPD en avril dernier, aussi bien les ramasser et les donner à une cause à qui saura les faire profiter. Comme le mentionne l’adjointe aux opérations à la Société canadienne du cancer, Rosemarie
Drolet, « Marie-Luce Béland a décidé d’amasser elle-même les sous noirs et de les remettre à la Société canadienne du cancer. C’est grâce à des initiatives de la part de personnes telles
que Marie-Luce Béland que la Société canadienne du cancer poursuit sa mission d’éradiquer le cancer et d’améliorer la qualité de vie des personnes touchées par le cancer ». Les
sommes versées serviront à financer des projets de recherche, à fournir du soutien aux personnes touchées par le cancer, à diffuser une information à jour sur le cancer, à aider à
prévenir cette maladie par la promotion de saines habitudes de vie et à mener à bien des activités de défense de l'intérêt public.
Dans un premier temps, Marie-Luce Béland présentera une première capsule. Lorsqu’elle en aura la chance, dans les médias, ses spectacles et en tournage d’une prochaine capsule, elle videra vos poches de vos « cennes noires ». Un don qui peut rejoindre tout le monde et que tout le monde peut faire.
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QUI EST MARIE-LUCE BÉLAND ???
Depuis l’âge de 5 ans que Marie-Luce Béland rêvait de faire carrière sur scène. Dès son plus jeune âge, elle posait pour le catalogue Sears, et participait à des défilés de mode. Et, déjà, la jeune fille espiègle démontrait tout son caractère et donnait du fil à retordre à son entourage. Dès le début, par le biais de la danse, puis du théâtre et de la comédie musicale, la destinée de Marie-Luce s’est portée naturellement vers la musique. En plus de participer à de nombreuses chorales et d’expérimenter du gospel au populaire, en passant par le jazz, la jeune artiste de Trois-Rivières orienta très vite ses études en concentration musique, pour apprendre les bases du piano, mais également tâter de la clarinette et du saxophone. Il ne fallut alors qu’un vent favorable pour que le papillon déploie enfin ses ailes pour prendre son envol.
Pour le simple plaisir de traduire en musique et en paroles ce qu’elle ressent, elle se mit aussitôt à l’écriture de chansons. La jeune artiste qui évoluait en elle cherchait tout naturellement à s’exprimer, sans aucunes autres attentes. Après chaque nouvelle composition, d’un élan spontané, la jeune chanteuse déjà émotive et flamboyante se rapprochait de son destin. Pour elle, la musique s’avérait dorénavant une nourriture du corps et de l’esprit comme l’eau et l’air. Si bien que le rêve d’une carrière professionnelle ne présentait déjà plus autant d’attraits; la musique lui suffisait déjà.
Jusqu’au jour, où elle fit la rencontre inopinée de Steve Veilleux, du groupe Kaïn, lors du vernissage d’une de ses amies. Séduit d’emblée par son « grain de voix » unique, il lui proposa d’écrire quelques chansons pour elle. En bout de ligne, elle reçut une dizaine de titres originaux qui traduisaient parfaitement ce qu’elle avait envie de chanter sur un premier album. Même si l’artiste a consciemment fait le choix de laisser d’abord s’exprimer l’interprète pour ce premier disque, Marie-Luce ne put résister à la tentation d’ajouter une de ses propres compositions ; « Regarde-moi », composée en l’hommage de son père.
Dès le départ, enthousiasmé par le résultat, Steve Veilleux s’est aussi empressé de se faire l’entremetteur avec son producteur et sa maison de disques. D’emblée, dès la première écoute de son démo, Marc Racine (Disques Passeport), lui proposa de l’accompagner dans chacun des volets de sa carrière ; non seulement comme producteur, mais aussi comme gérant, jugeant que cette nouvelle artiste rejoignait bien ses propres aspirations.
Se sachant dorénavant appuyée par une solide équipe, Marie-Luce accepta aussitôt l’invitation du groupe Kaïn de se joindre à la tournée « Nulle part ailleurs ». Ainsi, à l’automne et à l’hiver 2006, elle monta sur scène devant des salles combles à Magog (Vieux Clocher), Québec (Capitole) et Trois-Rivières (Salle J.-A. Thompson) pour y interpréter deux de ses propres titres : « Je ne t’appartiens pas » et « Folle ». Au grand plaisir de l’auditoire qui découvrait son talent naturel. Le conte de fées se confirmait, un premier lien venait définitivement de s’établir entre la nouvelle artiste et son public. Un lien qui ne se démentira plus jamais par la suite!
Au printemps 2007, elle se retrouva en studio avec Guy Tourville, un maître de la réalisation, et une équipe toute aussi chevronnée de musiciens (Steve Gagné, Yannick Boivin, Jean-François Beaudet, Jason Lang, etc.), pour enregistrer les 11 nouvelles chansons qui composeront son premier album : « À l’envers ». Au début de l’été 2007, elle s’embarqua dans la tournée des festivals avec Kaïn, et sillonna plus d’une vingtaine de villes à travers la province présentant à chaque soir quelques-unes de ses nouvelles chansons. À chaque fois, la jeune chanteuse retrouvait ce plaisir de conquérir de nouvelles foules, savourant chacun de ces instants magiques qui s’inscrivaient dorénavant dans sa carrière.
À la fin de l’été 2007, paru enfin son tout premier album ; À l’envers. Avec ce premier disque, Marie-Luce Béland démontre toute sa fougue et sa détermination, mais aussi son plaisir à mordre dans la vie. Une jeune chanteuse qui assume totalement son originalité, et qui sème au passage des étincelles de bonheur.
