DESCRIPTION:
Le gaillard pose les jalons d'une sorte de jungle.funk écartelé entre la culture centrafricaine et la fièvre blanche des musiciens de Brooklyn ou d'autres endroits associés. De la musique sans considération de passeport illuminée par les interventions d'une bande de Selenites qui déroule le truc avec une constance réjouissante. Ce collectif jette des ponts et un revigorant alliage dans la culture musicale. Tout ça exécuté avec une belle inventivité et bien taillé dans un habillage orchestral et vocal. Il y a de l'audace, de la fière allure, de l'expérimentation chez ce terrien repéré dans la sonorisation du plateau télé de Thierry'Ardisson ! (Genève 2011 - Scène Ella Fitzgerald / Parc Lagrange).