DESCRIPTION:
Achat physique & digital sur : https://lautrec.bandcamp.com
http://www.facebook.com/MCLautrec

Texte de Lautrec
Musique de Yann Kornowicz et Dan Amozig
Trompette par Jérôme Fouquet
Mixé par Blackjoy - Masterisé par Blanka

Casting :
Victorien Bonnet
Sylvain Saussereau
Hélène Tisseau
Johanna Cholvy

Direction / Edition : Pierre-Alexandre CHAUVAT (pachauvat.com)
Production : China Presles and Romain Bazin
Cadrage : Arthur BOURDAUD and Anne-Charlotte HENRY (henry-bourdaud.com)
Steadicam : Grégory Dupé
Images Lautrec : Ronald Caro
Maquillage : Fiona Wanda Marangoni
Chorégraphie : Sandrine Bassara
Etalonnage : Brice Auger (vimeo.com/user2671696)
Production : Pal Secam Production (facebook.com/palsecamproductions) - Première Heure

Remerciements : Bernard Lemaignen et Manon Letribot, Marie-Christine Chiron, Jean-Damien et Sandrine Bassara, Anne et Dominique Mabit, Carine Mabit, Lou Madjalian, Hugues Brianceau, Pauline Le Floch, Les Docks du film, A2C locations.

- MODULOR -

PAROLES:

Que Dieu me garde et
Ne ne laisse pas tomber
J'ai eu quelques bonnes cartes et
Quoique je me sois trompé
J'ai bien rigolé mon gars 
Mon cas ponctuel n'est pas, ni calme
Ni ponctué de coups de canines
J'ai bâti des galions dans ma tête 
Pour relier les 7 péchés capitaux
Quoique nous valions, moi et ma quête de corps capiteux
Si je capitule, quelques pâles quelqu'unes, quelque part
Sentiront de la peine quelques soirs...
Ah! Quel culot à l'homme 
Du haut de ses quelques kilos de calcium et d'eau, je sais...
Et calculé à l'aune de nos excès  
Qu'est ce que le regard d'une femme fait?
C'est peut-être faible mais je n'espère pas plus
Tu sais, j'ai été pas radin de paradigmes altruistes
Maintenant mon baratin m'attriste
C'est la crise de la trentaine
Je n'écris plus que sur la tendresse
Tout le reste n'en vaut vraiment pas la peine
Epargner ceux qu'on aime
Rester, partager la vedette
Se laisser contester : Ça c'est dur!
Sans malhonnêteté...
Tous guidés par tout c'qui nous pousse 
A s'quitter vite on s'acquitte du minimum
Et puis on mime dignement la rupture

Lis seulement l'isolement qui s'immisce 
Si salement s'il s'alimentait seulement 
De sentiments à la manque
Mais même le meilleur élan éloigne les gens, p'tit
Les enjoint de rejeter ceux qu'ils jugent moins gentils
On veut tous que nos mômes poussent 
Dans un monde doux comme le pousse mousse
On croit tous que les autres ou sont indifférents ou sots
Je n'espère plus rien graver
Juste ne rien aggraver  
Je sais de quoi l'enfer est pavé 
Et puis tu sais, je n'ai pas vu d'épaves tellement dépravées 
Qu'elle n'ait pas bravé une fois 
Les baffes et fait des pamphlets
Lancé des pavés, déplacé sa graisse de la cave au grenier
Grogné qu'on agresse les plus humbles en premier
De la Grèce à la Guinée..
Mais par paresse on caresse les choses
On s'arrête à ce qu'elles paraissent
On cogite peu sur les causes et les conséquences 
De nos maladresses
On cosigne des proses épatantes de tendresse
Pour défendre des causes grandioses
En oubliant d'aimer ceux à qui on s'adresse
Est-ce l'inspiration que l'on rationne ?
Ou nos cœurs d'acier durs à passionner?
Il est plus facile d'importer les détresses
En zappant les passants dociles
qui ne passent pas dans la presse : nos proches !
S'il vous plaît messieurs dames approchez !
Juste pour voir, simplifions le projet...