DESCRIPTION:
CHANSON DE MARC HOFFMANN 1970

Alain GOLDSTEIN - Michel JONASZ


Vraie comme les arbres de mon enfance
Comme le parfum de Provence
Aux premiers jours de l'automne
Vraie comme la fraîcheur d'un matin
Sans toi elle ne serait rien
Ma tendresse

Belle comme la mer aux reflets d'or
Au crépuscule et à l'aurore
Quand elle est douce et tranquille
Belle comme une forêt de sapins
Sans toi elle ne serait rien
Ma tendresse

{Refrain:}
Es-tu si loin de moi ?
Entends-tu ma voix ?
Je veux crier sans cesse
Chanter jusqu'à l'ivresse
Ma tendresse

Vraie comme est vrai le souvenir
D'un visage et d'un sourire
Qui ne peuvent pas disparaître
Vraie comme cet amour qui me tient
Sans toi elle ne serait rien
Ma tendresse

{au Refrain}

Vraie comme les larmes de ma jeunesse
Comme l'espoir que je caresse
D'entendre à nouveau ton rire
Vraie comme dans mon cœur le chagrin
Car sans toi elle n'est plus rien
Ma tendresse

La la la...