William Foster

Pourquoi William Foster ?



Parce que les Smiths. Parce que l’envie de jouer de la guitare et pas de faire des effets de manche. Parce que les harmonies vocales de la pop anglaise et

du folk des sixties. Parce que les Kinks, les Beatles, XTC et Paul Weller. Mais pas que.

On va vous expliquer.



Membre fondateur du groupe aux côtés de Nicolas Lefort, Nicolas Sauvage, auteur, compositeur, interprète et guitariste du groupe, connaît la musique.

Il a été disquaire. Mais pas un disquaire qui vendait des disques.

Un disquaire qui vendait de la musique. Un peu comme Tarantino louait des films

dans son vidéo club de Manhattan Beach en Californie.

S’il fallait situer ça de ce côté ci de la Manche ?

Les Innocents. Sans hésiter. Et puis Daho.

Et Françoise Hardy. Pour ce regard toujours tourné vers Manchester,

Liverpool, London and co.

C’est le credo du groupe. Il faut que ça

sonne. Et tout ce qui vient de là bas sonne.

Alors ils y vont. Mais n’oublient pas d’en revenir.

Parce que William Foster aime aussi écrire et chanter en Français.

Pas un paradoxe. Une équation. Un équilibre.

Qu’ils tiennent bon depuis trois albums déjà.

Comme pour ramener définitivement la perfide Albion dans leur propre giron.

Se l’approprier.

Alors. Pourquoi William Foster ?

Non !

Plutôt qui sont William Foster.

Des amateurs de contre sens et des fans de cinéma, pour ceux qui aiment les références. Ils sont surtout Nicolas

Sauvage et Nicolas Lefort, donc.

Julie aux chœurs et aux percussions.

Un batteur. Un vrai. Christophe. Qui sue et qui frappe mais qui sait

aussi manier le Charley.

Et ils ont tous un point commun.

Ils aiment écrire et défendre de bonnes chansons. Des chansons qui se retiennent

mais qui ne s’oublient pas.

Ah non ! Pardon. Ils ont un autre point commun.

Ils adorent la scène. Ils y sont comme des gourmets dans un restaurant trois étoiles. Vous devriez y goûter…



A.H.