Victor

E n seulement un an d’existence et à coup de gros sons lors de leurs concerts – organisés ou bien souvent improvisés – J.F.K est devenu l’une des figures montantes de la scène rock parisienne. S’inspirant entre autre des Hives, Strokes, Kasabian, Velvet Underground et consort, le groupe a su trouver une identité et un son propre reflétant la rock attitude de « l’Alliance Française » avec leurs amis des José & The Bytches. Son qu’ils délivrent sans économie sur scènes où leurs prestations sont toujours des plus attendues.
Très vite ils se produisent dans le quartier Oberkampf, bien connu pour son effervescence tous azimuts et prennent leurs marques dans des endroits comme La Mercerie (un grand merci à Aurélia et José), le Mecano Bar (thanks Earle !) ou le Bric-à-Brac ! Des bœufs spontanés s’organisent d’ailleurs souvent lors de soirées rock’n’roll débridées au Baroc Café, au Panic Room ou au Pop In…
Les répétitions commencent, largement facilitées par la complicité de Victor et d’Amaury qui ont composé, ensemble, une bonne partie de leur nouveau répertoire durant les premières semaines de l’automne.
Après avoir brûlé les planches du Divan du Monde, du Gibus, du Truskel et de l’International, qui sera la prochaine victime ?
« Nous ne sommes pas meilleurs, nous sommes pires ! ».