THOMAS FEVRIER

Location:
Paris, FR
Type:
Artist / Band / Musician
Genre:
Rock
Site(s):
Label:
Les Belles Endormies
Type:
Indie
copyright : Rod pour www.le-hiboo.com



DISCOGRAPHY



COLLABORATIONS



> Work in progress on Tcheky Karyo's new album. Composing, writing, recording and playing live.

> Arrangements and sound production with Claire Joseph on the "Sous L'avalanche" E.P.

> Song writing, orchestration and musical direction for "Jean Claude Dreyfus chante en toute sobriété"

> Sound Design and Music of Sandrine Binet's "Pension Almayer", based on "Oceano Mare" by Alessandro Baricco

> Song writing, orchestration and musical direction on the album "Mai Drusia" by Wenta

> Music of "Empaille", short movie (Laure Plaindoux)

> Music and sound design of "Rictus - Les soliloques du Pauvre", theater play directed by Jean Claude Dreyfus

> Music and sound design of "Inventaires" theater play written by Philippe Minyana

> Music and sound design of the Harold Pinter's "Lover", adapted and directed by "La Compagnie Les Epinettes"

> Various musical productions for France Culture (radio fictions)

> Orchestrations for the "Tour de Cochon", musical show by and with Jean Claude Dreyfus



PRESS BOOK

NOUVEAU CASINO : Live Report



J’avais découvert Thomas Février en mai dernier alors qu’on m’avait conseillé un autre groupe qui partageait l’affiche (Anabase). J’avais été sublimé par les chansons exquises et la voix exceptionnelle de ce compositeur qui avait franchement bluffé l’auditoire du Zèbre de Belleville. Il y a quelques semaines, ce dernier m’envoya un message pour m’inviter à son concert du 18 mars au Nouveau Casino. Et il aurait fallu être un lémurien cérébrolésé sous traxene pour décliner l’offre. Après tout, The Kills et Gossip à l’Olympia, c’était surfait (en fait le hibOO n’a pas choppé d’accréditation, mais on se voile la face comme on peut)



Durant le remplissage laborieux du Nouveau Casino (mais qui sera malgré tout relativement rempli au fil de la soirée), Thomas Février, seul au piano, enchaîne rythmiques blues, jazzy, mélancoliques, à l’instar d’un animateur piano bar que l’on peut voir à la Défense au pied de l’UGC Ciné Cité. 30 minutes plus tard, et après avoir longuement scotché sur une femme d’origine asiatique absolument divine (je ne suis qu’un HibOO sapiens), la première partie répondant au doux patronyme de Palm Springs, entre sur scène.



Invité par Thomas Février (le groupe l’avait convié à venir jouer en Angleterre), le quintet donne tout de suite le ton : point de headbanging, ni de rotation sexy de hanches. Les anglais délivrent plutôt un “folk indie” très norvégien, dans la pure tradition de Mùm, ou son jumeau (puisque constitué des mêmes membres), Seabear. La surprise est donc de taille, et les mélodies très planantes - pour ne pas dire aériennes - n’invitent pas à l’excitation (d’ailleurs le groupe, sur le plan scénique, est l’allégorie même du stoïcisme), le public sera donc séparé en 2 parties : les dubitatifs qui se demandent ce qu’ils écoutent, et les réceptifs qui apprécient la douceur musicale offerte. Des titres à l’instar de “Sofly to Fallen” ou encore “Echo of Me” permettent au plus réfractaires l’adhésion : l’ovation finale amplement méritée tend à penser que l’auditoire dans sa grande majorité a apprécié ce set quelque peu surprenant.



En relisant ma petite bafouille de la prestation de Thomas Février au Zèbre, je me rends compte à quel point j’ai mésestimé le personnage. Certes, j’avais été happé par son univers et ses mélodies somptueuses, mais je n’avais pas réalisé à quel point les dites mélodies étaient magnifiques, sans oublier cette putain de voix incroyable, avec une tessiture possédant une élasticité extraterrestre. Le show semble plus rock, ou plutôt devrais-je dire plus rentre-dedans que dans mes souvenirs, et indubitablement, ça me plait davantage. Une grande partie du public - invitée - est venue pour le prodige, et l’osmose est quasi immédiate. Pour être franc, je ne m’en remets toujours pas, et je ne vois pas comment, avec des mots simples, expliquer la virtuosité globale, la présence scénique captivante, l’évolution très “prog” de certaines chansons, les envolées vocales qui prennent aux tripes (”Dans mon lit”, la chanson qui tue tout) … non je ne vois pas. Il est de ces artistes où vous vous sentez directement connectés, où vous avez la forte impression que les notes ont été écrites pour votre âme, une sensation symbiotique qui se vit plus qu’elle ne peut être décrite. Se pose alors une question - en tout cas, je me la pose : pourquoi Thomas Février n’est-il pas connu ? Et pourquoi ce dernier n’est-il pas programmé dans des festivals parisiens ? Beau, charmant et charmeur, voix magnifique, charisme indéniable, des mélodies somptueuses, un band qui assure et transporte les compositions … un truc m’échappe sérieusement. L’auditoire présent en revanche ne s’y trompe pas : conquis du début jusqu’à la fin, jusqu’à demander un rappel que l’artiste ne peut refuser. Vous l’avez compris, je suis fan. (ROD - www.le-hiboo.com)



ZÈBRE DE BELLEVILLE



"D’emblée, le personnage séduit. Il faut dire qu’il a tout pour lui : il est plutôt beau, il a une voix singulière, ses textes sont très bien écrits et ses parties de piano, tantôt subtiles et caressées, tantôt brutales et martelées, sont une démonstration permanente d’un sens lyrique raffiné, un peu de la même trempe d’un Bab’X (en moins symphonico-technique, cependant). L’homme semble vénérer Patrick Dewaere ; la photo de l’acteur disparu figure même sur le piano. Quoiqu’il en soit, le charme opère et l’auditoire présent réclamera un rappel, amplement justifié par une prestation - trop courte ! - mélangeant humour et amour, tendresse et passion, musicalité et interprétation parfaite. Je crois que certains estiment que j’excelle une fois de plus dans l’art de l’extrapolation. Soit. Il vous reste donc à foncer sur le MySpace du musicien, écoutez Emilie. Cela devrait suffire."

(www.le-hiboo.com)



BUS DE NUIT : Chronique



"Paris, une rue, il pleut, une silhouette passe pleine de songes, de questionnements.

Thomas Février de sa voix sortie d'on ne sait où attend son "Bus de nuit".

Nuits d'errances, d'introspections, de réflexions. A se séparer de l'autre, à la reconquérir, à douter, à espérer. Quitter, retrouver les villes, sa ville, ses rues, ses squares.

Partir sans se retourner, revenir, no man's land.

L'amour toujours, l'universel, l'intemporel. Perdu, vaincu, attendu, retenu. Rêverie, mélancolie, dans un lit. Jolie demoiselle, voix délicate, Olive Tree Café.

Rendez-vous tous les soirs, doux regards, espoir.

Imperceptiblement il passe, de Berlin, de guerre lasse, une trace. Indiciblement, derrière la fenêtre où les gouttes perlent, nous le regardons. Il passe.

"Bus de nuit", album tout en profondeur, en suspend. Laissez-vous glisser, immerger dans ces volutes brumeuses, rêveuses.

Veritablement envoutant. Beau comme du Doisneau."



"Paris. It's rainig outside. A shadow wandering along the streets. full of dreams and interrogations.Thomas Fevrier and his out of nowhere appearing voice is longing for his "Bus de nuit".

Roaming, introspective nights ; separations, returnings, doubts and hopes. To leave and rediscover the cities, his city, streets and parks.

To go away, without revolvings, then returning, no m'an's land.

Love, always, timeless, worldwide. Lost, defeated, unexpected, retained. In a bed, dreams and melancolie. Pretty lady, delicate voice, Olive Tree Cafe.

Hope and sweet glances, every evening, every night

From Berlin he fades away, imperceptbly. Without a word, behind our pearly window, we are watching his strolling walk.

"Bus de nuit", a deep and suspended album. Let yourselves drawn into its foggy, dreamy curls.Truely spellbounding."

(P.Ritz - Rock'n'France)



FESTIVAL ECLATS DE DIEULFIT (2006)

“Thomas Février revient donc dans notre région, et pour sa première représentation en dehors de la capitale, nous a offert un concert mémorable, faisant lever le public de sa chaise et taper dans les mains, chose rare au festival Eclats. Jouant du piano (quelquefois debout) et chantant avec une voix extraordinaire, Thomas a su se faire aimer du public.”

(Le Dauphiné)
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