Simone Tassimot

Location:
Ile-de-France, FR
Type:
Artist / Band / Musician
Genre:
Other
Site(s):
Label:
Aucun
Type:
Indie
1991. Prix d’interprétation. Gala de la presse.



2000. Concours « Vive la Reprise » Prix de la meilleure illustration du répertoire.

Centre de la chanson.



2003. Premier album « Chansons », au Loup du Faubourg.



Ce qu'ils disent d'elle :



(.) Si Simone Tassimot a su prouver ces dernières années qu'elle était une grande "gainsbourienne", elle semble retrouver ici son milieu naturel et se plonger de nouveau avec délice dans son fabuleux biotope, celui des Fréhel, Solidor, Damia, Florelle, Lion – autant de soeurs qu'elle ne cherche jamais à singer mais dont elle retrouve la grandeur grâce à la beauté et l'intelligence de son chant. Timbre, couleurs, phrasé : son instrument paraît si heureux de retrouver ce répertoire qu'il s'en donne à coeur joie et ne lésine pas sur les nuances, de la mezza voce au rugueux en passant par la pleine voix, sans virtuosité gratuite aucune puisque Simone Tassimot la cinéphile comprend et chante la chanson aussi par rapport au propos du film lui-même, ce qui en élargit considérablement le champ, chaque chanson devenant un petit film d'une minute ou deux à l'intérieur d'un ensemble plus vaste que l'on ne connaît pas toujours mais dont l'interprète fait ressentir la présence. (.)



www.lalalala.org, 2008.



Créé il y a deux ans, son spectacle intitulé "Gainsblues" s'est affiné. Ex-gouailleuse, comme elle se définit elle-même, Simone Tassimot a choisi d'interpréter Gainsbourg plutôt que Gainsbarre. Elle exhume des chansons rares écrites à l'origine pour des femmes. Ainsi ressuscite-t-elle des perles oubliées (.) Sophie Delassein, LE NOUVEL OBSERVATEUR. Juin 2008



(.) Simone Tassimot a un art de la narration qui n'appartient qu'à elle. (.) Elle nous raconte un Gainsbourg aux deux visages. Le rythme est résolument jazz, mais le ton étrangement grave. Même les chansons les plus légères (.) deviennent avec l'art de la chanteuse le sourire du convalescent faisant un pied de nez au désespoir. (.) Reprendre une chanson pour elle, ce n'est pas tout de suite réinterpréter. C'est d'abord faire entendre les mots, prononcer les phrases comme si elles étaient restées intactes. (.) www.lalalala.org

Juillet 2008.



(…) Simone Tassimot débute dans la chanson réaliste, enregistre un album au Loup du Faubourg, prend des cours de théâtre, fait de la commedia dell’arte, organise des lectures dans les bibliothèques, exécute des montages poétiques, abandonne la gouaille pour Gainsbourg. (…) Son timbre colle le blues, son rythme swingue, cette petite femme-là est épatante. (…) Anna Alter, MARIANNE, 2006.



(…) La Fréhel des temps nouveaux, qui, après une première carrière forte en gueule dans la presse, a décidé de pousser la goualante sur des scènes de fortune et d’infortune, interprète Gainsbourg depuis toujours. Mais en y mettant des accents blues que Billie Holiday ne renierait pas. Yann Plousgastel, LE MONDE , 2006.



(…) Simone Tassimot s’approprie le plus naturellement du monde une chanson d’homme, les Oubliettes, mais surtout elle rend toute sa force à la poésie de la rue, où les regrets du poète « se valent musette dans les caboulots »… sans toutefois verser dans le populo de convention. Car elle maîtrise sa gouaille pour ne laisser passer que les mots et leur musique. Chaque titre est revisité par ce phrasé à la fois extrêmement doux et rugueux. Et lorsque soudain nous sommes sous le choc au détour d’une intonation (incroyables Amours perdues) la douceur du timbre libère toutes les émotions jusque-là retenues par une âpreté vocale merveilleuse. (…) Avec Baby Alone in Babylone, tout se passe comme si, en transitant par le gosier si typiquement français, pour ne pas dire parisien, de Simone Tassimot, l’éclat mortifère des avenues de Los Angeles brillait avec plus de force encore – la force même de la distance. www.lalalala.org

2006.



(…) Petite s--ur de Damia, cousine de Germaine Montéro et fille spirituelle de Marianne Oswald, (…) elle a commencé par chanter Carco et Prévert, Mac Orlan et Caussimon… Puis il y eut son premier disque, « Chansons », avec des titres comme la Mort me hante de la regretté Colette Magny, Miss Otis Regret’s, adaptation d’un morceau de Cole Porter ou l’Aquaboniste de Gainsbourg. Une sacrée claque. La Tassimot, mâtin quel talent, rejoignait ainsi le Panthéon de nos mélodies secrètes. Surtout lorsqu’elle chante a capella le Temps des Cerises. Yann Plougastel, PARIS OBS. 2004



(…) Ce premier album, « Chansons », est l’occasion de découvrir son envie gourmande, généreuse d’interpréter des histoires écrites par les autres. C’est si rare de nos jours, une chanteuse qui considère sa voix comme un instrument à moduler, à nuancer et non comme un mégaphone qu’il faut goûter ce plaisir des sens. (…) Olivier Maison, MARIANNE, 2003.



(…) Une voix qui a sculpté sa maturité dans les cabarets et célèbre le bonheur d’interpréter la noblesse du patrimoine : Caussimon, Gainsbourg… Leçon. TELERAMA, 2003.



Elle chante comme on se noie. (…) Patrice Delbourg, écrivain, 2000.



(.) un nom me passa par la tête, un nom qui sonnait dur, un nom qui était devenu une goutte de mon sang. Devant mon cœur se dressa encore et encore l’image du jeune homme maigre aux yeux tristes du théâtre de Strasbourg, l’image du jeune homme qui réclamait le soleil. Ma main ne trembla pas, elle était sûre d’elle-même. En grosses lettres, je signai : Marianne Oswald (…). Je n'ai pas appris à vivre. Marianne Oswald.



A MARIANNE OSWALD.



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