Mouloud & the Sonic Destruction

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Location:
FR
Type:
Artist / Band / Musician
Genre:
Rock / Electro / Pop
Site(s):
Label:
Platinum Records - contact: tom@platinumrds.com
Type:
Indie
Mouloud & Sonic Destruction - Part 1- @ Le-gouter.comenvoyé par sdecampou



Videosound_16_djmoule_Visual_fx_and_Moulenvoyé par petitlubzh



« One, two… » First, Mouloud was a duo formed by Moule and Sam, two brothers from the french rock band « Mobil Session Team », two funny guys who were discovering the sampler’s possibilities and wanted to have fun with sonic, powerfull and dancing mixes.

Mixing hip hop, rock, soul and electro, the result, Easier with a sampler (2001), was really fresh and as shambolic as their friend Rubin Steiner.



« One, two, three… » As their puspose was to have fun and to evolve, after the coming out of Mr King & The Sonic Destruction (2004), their second album wich was mixing blues and breakbeats, they invited Dick, their other brother (playing drums in “Mobil Session Team”) to join them on stage.

It was such a good way to make their live shows more powerfull.

With Moule Sonic singing and playing sampler, Sam Sonic on the bass, guitar and percussions and Dick Sonic’s supplies to add rythmic tension, Mouloud keeps on making a strong live reputation.

As three crazy guys, they put all stages on fire with a natural attitude and such a fuckin’ energy !!!



« One, two, three, four ! » The three brothers decide to become a real three members band to create their new album “White line”.

Their name evolve too and becomes Mouloud & the Sonic Destruction . It’s a good way to show the difference between this new line up and the original duo .



A good way to affirm their musical evolution too . More guitars, more rock’n roll, but still a powerfull beat box and electronic sounds.

Most part of the songs were created by jaming as “Drop Out” wich sounds like the Rolling Stones who would have been borned in 1976.

The electronic textures hasn’t disapeared at all and go ahead with the songs like “In The Underground” or “My Van”.

We could name a lot of influences, from the Manchester’s scene of the 80’s (Happy Mondays, The Stone Roses) to The Queens Of The Stone Age, from Beck to The Rapture going through The Smashing Pumpkins, but we’ll have to get used to this idea : there is in France a band wich doesn’t only copy what it listens and stays free . its name is Mouloud & The Sonic Destruction



Vincent BRUNNER



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« One, two… » Au départ, Mouloud était un duo formé par Moule et Sam, deux frères du groupe de rock français Mobil Session Team, deux rigolos qui découvraient les possibilités du sampler et voulaient s’éclater les tympans avec des télescopages sonores, énergiques et dansants. Brassant hip hop, rock, soul et électro, le résultat, Easier with a sampler (2001), respirait l’air pur des expérimentations approximatives et bordéliques, possédait la même fraîcheur que les jonglages d’échantillons pratiqués par leur copain de label, Rubin Steiner.



« One, two, three… » Comme l’objectif des deux énergumènes reste de s’amuser et d’évoluer, après la sortie de Mr King & The Sonic Destruction (2004), album qui conjuguait leur fascination pour le blues (Big Bill Bronzy est samplé) et les breakbeats, ils invitent Dick, leur autre frère batteur de Mobil Session Team à les rejoindre sur scène. Histoire de rajouter de la hargne et du rythme à un live qui n’en manquait pas. Avec Moule au chant et aux machines, Sam à la basse, à la guitare et aux percus et le renfort de Dick pour rajouter de la tension rythmique, Mouloud continue de construire sa réputation scénique déjà bien établie après la tournée de 2001-2002 (et notamment un passage aux Transmusicales). Comme une bande de pois sauteurs trop longtemps exposés au soleil (© Pif Gadget), ils s’emparent de la scène avec un naturel et une énergie qui tranchent avec le cérémonial blasé de pas mal de groupes hexagonaux.



« One, two, three, four ! » Pour enregistrer son quatrième album (en comptant l’album de relectures de 2002, Me & My Friends), Mouloud se démultiplie définitivement en trois puisque Dick, après la tournée, a naturellement suivi ses deux frangins en studio pour imaginer une suite à six mains et trois cerveaux délirants. Pour marquer sa différence et ne pas se trouver étiqueté hip hop alors qu’il voit beaucoup plus large, le trio s’invente sa propre escorte, The Sonic Destruction (Sonic étant leur nom de famille). Un clin d’--il aux « vieilleries » qui remplissent les collections de disques des intéressés. Un moyen aussi d’exposer plus clairement leurs racines, « que ça sente la vieille guitare et le rythme binaire ». Car, avec le temps, Mouloud a canalisé ses influences et ses envies pour se rapprocher de plus en plus du format rock’n’roll. Sur le nouvel album, on ne trouve déjà que des morceaux chantés, toujours en anglais. Ça ne signifie pas que Mouloud & The Sonic Destruction rentre dans un moule à la mode. Simplement que l’énergie électrique dégagée par le trio les a poussés à fusionner leurs remuantes idées avec des riffs bien carrés et efficaces.



Des morceaux sont nés de jams à l’ancienne et “Drop Out” qui clôt l’album évoque des Rolling Stones qui seraient nés en 1976. Mais les textures électro et les boîtes à rythme n’ont pas pour autant disparu, elles épousent davantage les courbes des chansons nerveuses de Mouloud & The Sonic Destruction comme sur “In The Underground” ou “My Van”, entrées en matière qui ont du chien. On pourrait nommer quantité d’influences, de la scène de Manchester de la fin des 80’s où les rockers ecstasiés (Happy Mondays, The Stone Roses) se jetaient dans la dance aux virils Queens Of The Stone Age, de Beck à The Rapture en passant par The Smashing Pumpkins, Mais il faudra s’habituer à cette idée : il y a en France un groupe qui ne singe pas ce qu’il écoute, qui reste libre de ses mouvements sans non plus rentrer dans le format du rock français ou du live électronique. Toujours le cul entre deux chaises, Mouloud & The Sonic Destruction ? Même pas. Trop occupés à danser et à bouger, ils n’ont pas le temps de s’asseoir.…

Ça ne les empêche pas de porter un regard incisif sur leur époque « pleine d’hypocrisie sous couverts d’interdits et de paradoxes ». Derrière le crescendo irrésistible de “White Line”, on trouve ainsi une exhortation à prendre des risques pour s’éclater et vivre, tout simplement.



Placée sous le signe d’un hédonisme renforcé et d’un album coup de poing, la nouvelle tournée sera explosive et les absents auront plus tort que jamais.



Vincent BRUNNER
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