OUVRIR LE SILENCE .ouvrir SILENCe !
SILEnce ouvert - une rafale, mélodie, air, sifflotant, souffle, souffle qui s'engage, souffle engagé!
L'air du Macu Picu, la cordillère de mon corps qui fume - Un air chaud et suave dansant tango avec mère Java de Bali, enrichit gamelan, claque cacophonie !!!
Diable au cul, Diables aux chairs. Je te cris les cris,
Les cries de Dieu étouffé, les cris de père devenu fou, déboussolé puis fatigué,
Les cris, des fois oui, des fois nan, de l'atrocité ambulance joviale détournée!
Les cris qui vont devant et ne s'étouffent jamais
!
!!
Manteau jaune, famille habillé de la même façon, tous le même blouson
Gros seins décolletés, tu as gagné, talons piégés. Sédentarisé. Sandwich crudité poulet mâché, remâché, digéré.
Landau poussé sur pavé mouillé
Crète 2008, crête sur ta tête, linotte,
Bossu contrarié, Regard curieux qui cherche et se demande. Sans réponse. Toujours et c’est bien … Tette sucette et tes pommettes gonflent !
Passer, repasser, quel joli cul !.
Touristes bretons en Bretagne, se regarder dans une vitrine améliorée.
Se regarder l’un et l’autre dans la vitrine – Je ne le savais pas.
Une famille d’Hollandais, des français nonchalants, Hongrois stricts, italiens gominés.
Madame regarde sans regarder, blonde mâchée, blonde méché !
Madame marche avec une canne, sucrée, elle postillonne dessus !
Quand penseras-tu à te défriser le chandail, Qu’es ce que tu es bien mise.
Puis je ? Chercher l’envie. J’aime les femmes strictes.
Demain passeras-tu là à la même heure ?
Chercher à faire sourire l’homme qui me sourit
Toi là bas, pull rouge, regarde ta femme, idiot ! T’as fahit tombé !
Marcher, marcher, marcher, ballade afternoon, je ne sais pas ou t’emmener mais tu me passionnes… Finit ! Je n’ai pas d’argent !
Mais qu’est ce que tu fous là !
Blues en Sib, blouson en cachemire, blasé en été,
Enfant bronzé, visage pale, police municipale.
Passé, ignoré, encore gagné
Visite du quartier, les magasins de sports auront toujours une clientèle varié,
Mon cœur ne cessera de battre.