DESCRIPTION:
Jacques s'immerge dans un profond retour aux sources ...
Après un « Soné Kala » ou il explore avec l'esprit d'un jazzman contemporain la naissance du premier et seul instrument capable de faire trembler la terre « Le Tambour »
Après être descendu dans les profondeurs Abyssales en regardant son propre père le quitter au loin ...
Après avoir rencontré l'Amour et l'avoir célébré sur les Grands Boulevards de la Soul New Yorkaise avec « Rise Above » et Stephanie McCay sa tendre épouse...
Jacques émerge sur les côtes Haïtiennes à la croisée des chemins de ses compagnons de fortune avec lesquels il forgera cette nouvelle création ...

Le projet jazz-racine a germé en moi depuis mon enfance. Ma mère écoutait Ti roro et Martha jean Claude. Elle connaissait les paroles en Creole haïtien.
J'ai donc été initié a la musique racine en même temps qu'au Gwoka guadeloupéen. Mais ce n'est qu'après avoir enregistré mes deux disques de Gwoka-jazz, Sone Ka la et Abyss, que mes amis haïtiens ont vraiment attisé mon désir, en me demandant régulièrement quand j'allais me pencher sur la musique racine pour l'intégrer dans ma conception du jazz moderne.

Ces discussions m'ont aussi fait réaliser qu'aucun travail de la sorte n avait encore été réalisé, et je me suis senti encore plus motivé pour le mener à bien.
Les musiciens que je souhaiterais réunir sont les suivants.

Jean Baptiste Bonga aux percussions, haïtien, maître des tambours racines, vivant a NY
Obed Calvaire, haïtien, l'un des meilleurs batteurs de jazz a NY, trait d'union indispensable entre les deux mondes
Ewol Josué, haitien, chanteur du répertoire vaudou, mais aussi expert de l'improvisation.
Luques Curtis travaille avec de grands musiciens comme Gary Burton, Ralph Peterson, Donald Harrison, Christian Scott, Francisco Mela, Eddie Palmieri, Brian Lynch, Sean Jones, Etienne Charles, Albert Rivera, Elio Villafranca et d'autres. Milan Milanović, serbe, pianiste de jazz, très en vue a NY, a participé a mes deux premiers projets de Gwoka-jazz. Etienne Charles Né dans l'île de Trinidad en 1983, défie les catégories musicales faciles . L'origine musicale d'Etienne remonte à au moins quatre générations. Son arrière-grand-père, Clément Monlouis, a émigré à Trinidad en provenance du département français d'outre-mer « la Martinique »
Et moi même, franco américain d'origine guadeloupéenne.

Jacques Schwarz-Bart