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ERIC
BÉLANGER
2010 :
Nouvel album, nouveau spectacle
"Qu'ont en commun le Festival de la chanson de Granby,
le ROSEQ, le Festival de la chanson de Tadoussac, le Festival Pully-Lavaux à
l'heure du Québec en Suisse et le documentaire
On s'en va à Granby diffusé sur Musimax ? Un auteur-compositeur-interprète
dont la mélancolie joyeuse distillée (.) ressemble drôlement
à du Schubert qu' on aurait mis en chanson". ainsi présentait-on
ERIC BÉLANGER, suite à la parution de son premier
album, Bananaspleen, en septembre 2008.ERIC
BÉLANGER. ou la joie près de la peine. À 35 MM DU BONHEUR
!!!
Celui qui a conquis une certaine critique sensible à
cet univers si particulier, ainsi qu' un public d'amateurs à sa
faveur, lancera, pour notre plus grande joie, son nouvel opus : À
35 mm du bonheur (réalisé par son fidèle acolyte
François Richard) le 25 mai 2010.
L' album sera, par ailleurs, offert au public français
dès l'automne prochain.
C' est l' histoire d' amour improbable mais vraie, entre un trampoline
et un escabeau (Trampoline); la proximité et l' éloignement
qu' on vit lors d' un conflit (Sur le négatif). C' est
accepter tous les défauts de l' autre parce que c' est ainsi, nous sommes
nombreux qui, malgré la technologie, ne nous corrigeons pas avec Photoshop
ou au bistouri (Tu Es). C' est se perdre au pays des merveilles
(Hélices) ou sous un paradis de neige artificielle (Splenda).
C' est gratter dans ses souvenirs (Du sable sous les ongles).
C'est jongler avec l'idée qu'on n' y aura plus jamais accès (Vortex).
à ce bonheur d' un temps révolu. C'est le mouvement de balancier
fragile entre la tête et le cœur (En Équilibre).
Ce bel album,
fruit d' une maturité artistique exigeante, éprouvée, mais
acquise fièrement, tel un horloger minutieux et patient, c' est
enfin le résultat du film d' une vie condensée en 11 tranches,
petits joyaux d' orfèvre.
Ce qu' ils en disent
ou en ont dit.
« Attention, ce premier album d'Éric Bélanger
vaut nettement mieux que son titre. Il s'agit d'une belle pop au piano frêle,
effleuré. La pochette parle d'elle-même: la rêverie urbaine.
Le brassage musical est à l'honneur (il n'y a qu'à voir la longue
liste des collaborateurs), le jeu des références épate
(d'Ennio Morricone à Pierre Foglia). La voix, fragile, fébrile,
rappelle parfois Alexandre Désilets ou, dans ses dialogues avec ses choristes,
Tristan Malavoy. Les chansons sont atmosphériques, le tissu d'arrangements
a autant d'importance que le propos. Excellent départ, gageons que ce
finaliste de Granby en 2006 surprendra encore plus la prochaine fois.***1/2 (.
)Il a du charisme, de l'humour, un bel avenir dans la chanson francophone. Les
amateurs de Daho ou Delerm pourraient l'adopter et l'importer
en Europe »
Francis Hébert (Voir)
« C' est par hasard que j' ai écouté
le premier album d' Éric Bélanger des mois après
sa sortie, je m' en confesse. J' aurais dû l' écouter
lors de son lancement car j' y ai découvert un étrange auteur-compositeur,
très personnel, avec une plume intimiste et sensible, comme si un proche
nous chantait à l' oreille ce qui le travaille ou le chagrine.
Aucune idée de ce que ça va donner en spectacle, en chair et en
os. Mais en chanson, sur disque, c' est vraiment plus que prometteur ».
Les choix de Marie-Christine Blais (La Presse)
« Éric Bélanger a une voix douce,
frêle et un brin moqueuse, poésie et mélancolie rieuse sont
au rendez-vous dans son premier opus. L' univers du jeune auteur et chanteur
n' est pas sans nous rappeler Edgar Bori ou Thomas Fersen.
Le piano de Marianne Trudel offre un accompagnement parfait pour ce poète
funambule, les arrangements sont subtils, comme (Dans le ventre du spleen) où
le cor anglais, le hautbois et le basson se marient pour créer un décor
sonore nostalgique. Un début prometteur! »
Gilles Boisclair (Paroles . Musique)
