Austin Lace

Location:
BE
Type:
Artist / Band / Musician
Genre:
Pop / Latin / Electro
Site(s):
Label:
62 TV records (B), Homesleep (It), Slowshark (Dk)
Type:
Indie
KATS (VIDEO BY MATTHIEU FRANCES)



Close-up of Fabrice



REVIEWS :

A PROPOS DU CONCERT AU POINT EPHEMERE LE 30 AVRIL DERNIER :



http://www.notfortourist-paris.com/article-30906493.html



22h45.

Début du concert, l’énorme masque rouge, marque de fabrique du groupe, effrayant à ses heures, surtout si il venait nous surprendre de dos, se pointe à tout petit pas sur scène.

Puis, les Bruxellois d’Austin Lace arrivent à sa suite pour enchaîner leur pop nerveuse et entêtante. Génialissime, sucrée et mélodieuse, leur musique réanime un Point Ephémère un peu vide. Et ce malgré l’énergie des deux précédents groupes.

Chaque morceau confirme que ces 6 messieurs sont passés maîtres dans l’art de fournir des accords entraînants et spontanés, qui définissent merveilleusement bien ce que les termes "pop" et "évasion" veulent dire quand ils s’accordent ensemble.

La voix, la présence scénique, le jeu d’ensemble fonctionnent comme une belle mécanique huilée, les déambulations de leur mascotte ne perturbant en rien leur concentration et leur sens du jeu collectif.



Tous s’époumonent pour la grande joie des fans pressés devant.



Les accélérations et les ruptures de rythme, les respiration de concert des guitares achèvent de nous convaincre, si c’était encore à faire, qu’Autin Lace plus que n’importe quel groupe sait nous faire danser et nous entraîner loin de nos pieds.

On pourrait rapidement, sans y regarder à deux fois, les juger simplistes ces mélodies justement. Ensoleillées aussi, mais avec tout ce que cela pourrait comporter de chaleur innocente et de non complication.



C’est allez bien vite en besogne, rien de plus dur justement que de fournir des petits écrins de mélodies, faussement candides, et finement ciselées. Et si cela fonctionne si bien , c’est bien que le juste accord et la juste dose entre fraîcheur et rigueur de l’écriture a été trouvée.

Austin Lace c’est de la pop au grand cœur, qui porte au loin, au large et qui fait taper dans ses mains. Pourquoi commencer à se plaindre?



TELEMOUSTIQUE :



3 étoiles - Emmenée par l'implacable single Kats, la musique d'Austin Lace a su garder cet air de grand large, de soleil et d'évasion.



VOORUIT.be

Girls in Hawaii, V.O., Soy un caballo, … De Waalse bands blijken vlot hun weg te vinden naar Vooruit. Austin Lace trekt eveneens van de andere kant van de taalgrens naar Gent om hun nieuwe album The Motherman voor te stellen in ons Café. De plaat bulkt van melodieuze popdeuntjes en fijne stemmetjes die doen denken aan de vroege Belle & Sebastian. Maar Austin Lace kan bij momenten ook even funky uit de hoek komen als het Franse Phoenix.



FROM http://leggiere.blogspot.com:

French pop y psicodelia en el mismo saco? Algo así suena Austin Lace, el sexteto belga que rescata la diversión y la frescura del pop sesentero para juntarlo con texturas más elaboradas, a lo Flaming Lips. Luminosos y optimistas, directos en las guitarras, simples en las letras y aéreos en los arreglos, son también acusados de melosos hasta la médula. Pero a quién no le viene bien el postre.



LE SOIR.BE :



Dès le titre « Katz » (avec les Tellers) en ouverture de ce troisième album, on retrouve ce style pop west coast propre à un groupe pourtant remanié. Fabrice Detry reste aux commandes d’un groupe qui a réussi à préserver légèreté et fraîcheur. Comme quoi ses petites collaborations avec Hallo Kosmo et les Tellers ont eu une influence bénéfique sur ce disque entraînant enregistré à Bologne.



WWW.POPNEWS.COM :



La complicité qui unit Thierry De Brouwer et Fabrice Detry, bassiste du Yéti et surtout tête chantante d'Austin Lace, se confirme pleinement lors de la deuxième partie du concert. Venus présenter leur troisième et nouvel album "The Motherman", les membres d'Austin Lace comptent en effet désormais Thierry comme guitariste officiel, et à l'écoute du résultat, on frôle le coup de génie. Sur disque comme sur scène, Austin Lace avance à pas de géant en efficacité et en plaisir partagé. Du méga-tube "Katz" au plus doux "The Coral", Fabrice Detry et sa bande semblent s'en donner à cœur joie et propulsent, sans faiblir, les étoiles filantes de leur power pop ultra mélodique, dignes du meilleur Weezer. En guise de contre-point visuel sont projetées sur un drap blanc des ombres chinoises expressionnistes et ludiques. Lorsque soudain, de derrière la toile, apparaît The Motherman, monstre hybride au masque mexicain. La créature fantomatique tentera, à plusieurs reprises, d'attirer l'attention des membres du groupe et du public, avant de finalement se résigner, seule et malheureuse, et de disparaître à nouveau dans sa cache. Cette apparition digne des tableaux de James Ensor laissera au chewing-gum pop d'Austin Lace un goût amer, remettant en question l'excès de joie proposé jusqu'ici. Le concert terminé, on sortira d'ailleurs de la salle avec une impression étrange, confronté à la fois au passé et au présent, à l'euphorie et à la mélancolie, au morbide et à l'intensément lumineux.



WWW.MUSICINBELGIUM.NET :

Mais il y a aussi une dimension douce amère représentée par « Devotion », qui distille un brin de nostalgie. En résumé, c’est un très bon album.

http://www.musicinbelgium.net



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