Ufych Sormeer

Location:
Lille, FR
Type:
Artist / Band / Musician
Genre:
Metal / Progressive / Death Metal
Site(s):
Label:
Holy Records
Type:
Indie
Le périple Ufych

Sormeer commence à Douai, au Nord de la France,

avec un line-up ne comptant que deux de ses membres actuels. Oliver Bourez (alias

Bzour),

fondateur et leader du groupe, occupe alors le poste de guitariste

chanteur et s'accompagne à la basse de Nicolas Sanson, son

monolithique compagnon. Le groupe sort un premier concept album en

2001, «Anthem

to the Glory of The Great Octogon», qui

relève à cette époque du metal

extrême. Mais l'orientation musicale évoluera

rapidement vers le metal progressif.

    Un EP 4 titres «The

whimsical Have A Dream» enregistré en

2004 leur permet de décrocher une signature chez Holy Records

l'année suivante. Afin de se préparer d'avantage

à la scène, les  guitaristes du goupe Dead Season (Guillaume Singer et Guy Noel

Hoareau) intègrent la formation, suivi de

prés par Gregoire

Galichet, batteur des Hectic

Patterns.

    L'évolution du style musical

du dernier EP conduit à la sortie de l'album «Crazy

Mac». Plus progressives mais aussi

teintées rock/heavy, les compositions deviennent plus

accrocheuses. Cet album permet à Ufych Sormeer de se

produire sur les scènes convoitées du Hellfest, de la Locomotive, du Raismes Fest et de

bien d'autres salles francaises.

    L'évolution musicale ne s'en

tient pas là. Jusqu'à cette epoque, les

arrangements de claviers etaient samplés, obligeant le

groupe à suivre un séquenceur pendant les shows.

Lassé par la rigidité de la machine, le groupe

fait appel à Simon

Fache. Musicien et arrangeur hors-pair, il

évolue dans de nombreux projets  funk, rock et

jazz. Le groupe, séduit par les sonorités vintage

de ces claviers 70's et 80's l' intègre

aussitôt.  Grégory

Degrave, alors batteur de Century Scream et

ancien compagnon de route de Guillaume Singer, remplace

Grégoire Galichet à la batterie. L'

efficacité et l'originalité des morceaux devient

alors l'objectif premier. Tous les musiciens participent dès

lors à la composition.

    Ainsi naît l'album «All

Stars», dernier opus du groupe en date. Avec

cette galette, les six compagnons se sont fait plaisir.

l'experimentation ne leur fait définitivement pas peur et

ils le prouvent encore une fois en mettant à profit leurs

influences variées. Des beats electroniques aux compositions

acoustiques, tout y passe. Un mur de guitares de plus en plus rock

s'invite bien sûr à la fête. Le resultat

est  unique: un univers déjanté, western

et futuriste où Clint

Eastwood et Albator

vous attendent pour siffler un bourbon.



    Alors , ça vous tente?



They rule.
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